Le témoignage de Ramón Enrique Ferrer est l'un des milliers de Cubains qui ont été déportés.

Des milliers de jeunes ont été littéralement kidnappés. Retiré de leurs maisons, centres d'étude et séminaires religieux.

En 1959, la dictature des frères Castro a créé et développé des instruments de répression qui pourraient être appliqués dans différentes conditions et à tous les secteurs de la société. En 1960 et 1961, Ernesto Guevara et Raúl Castro ont commencé une persécution officielle contre les prostituées, les proxénètes et les homosexuels, mais aussi contre toute personne qui n'a pas caché son rejet du nouvel ordre. Il n'y avait pas de mandat d'arrêt. Les normes judiciaires n'étaient pas respectées dans ces pogroms, que permettaient se rappeler les persécutions contre les juifs.

Le témoignage de Ramón Enrique Ferrer, est l'un des milliers de Cubains qui ont été amenés, sans commettre de crime, dans les camps de concentration créés par le régime criminel Castro-Communiste des frères Fidel et Raúl Castro, après le triomphe de la révolution . Cette vidéo est une collaboration de Los Intransigentes del Exilio 2011. La vidéo et la production était en charge d'Alexis Nazario Steyners.

En el primer grupo de compañeros que han ido a formar parte de las UMAP se incluyeron algunos jóvenes que no habían tenido la mejor conducta ante la vida, jóvenes que por la mala formación e influencia del medio habían tomado una senda equivocada ante la sociedad y han sido incorporados con el fin de ayudarlos para que puedan encontrar un camino acertado que les permita incorporarse a la sociedad plenamente.

Raúl Castro, Ministro de las Fuerzas Armadas Revolucionarias, abril de 1966:

La otra Cuba de Fidel Castro: la que recluía a los homosexuales en campos de trabajos forzados

Hace seis años, en una entrevista con el diario mexicano La Jornada, Fidel Castro reconocçia la sistemática discriminación a la que la comunidad LGBT se vio sometida en la Cuba post-revoluciona...

https://magnet.xataka.com/en-diez-minutos/la-otra-cuba-de-fidel-castro-la-que-recluia-a-los-homosexuales-en-campos-de-trabajo-forzado

L'historien Pierre Rigoulot décrit ces camps comme « destinés aux homosexuels, aux asociaux et aux autres parasites ». Le sociologue Vincent Bloch, précise que « l’édification de l’homme nouveau — rêvé par Che Guevara — est le prétexte idéologique du régime tout au long des années 1960 : Au nom d’une moralité confuse et incertaine, les hippies, les homosexuels, les témoins de Jéhovah, les artistes idéologiquement « diversionnistes » , sont envoyés dans des camps de concentration, appelés Unités militaires d’aide à la production (UMAP). En compagnie des hommes « non fiables » âgés de 18 à 27 ans, que le gouvernement juge imprudent d’initier au maniement des armes dans le cadre du Service militaire obligatoire (SMO), ils constituent la catégorie de citoyens dont la conduite est impropre ». 

En novembre 1963, le service militaire obligatoire a été établi sur l'île, ce qui a donné lieu à de nouvelles formes de répression. L'OMU était un autre instrument d'oppression et d'idéologisation qui devait être considéré à l'époque.

Parmi ses objectifs figurait la militarisation de la société, l'endoctrinement politique, tout en imprégnant les nouvelles générations d'un sentiment d'obéissance qui n'est acquis que dans les casernes, dans lesquelles les commissaires politiques ont plus d'autorité que l'officier le plus gradé. 

Ils ont été transportés de force dans des camps de concentration câblés. Gardé par l'armée. Incarcérés dans des conditions inhumaines, ils ont été contraints au travail forcé dans l'agriculture. Ils contrôlaient les visites. Ils ont été punis fréquemment. Battu par des sbires en uniforme qui ont apprécié la douleur qu'ils ont causée. Certains se sont suicidés, d'autres ont été assassinés par des geôliers et ont été fusillés.